Élim de la CAN Maroc 2025 Guinée-Tanzanie : quelle honte !

Je m’exprime très rarement sur ma propre page pour parler du Syli national ou d’un autre sujet d’actualité. Je le fais régulièrement sur les pages connaissant le foot ou tout au moins des personnes que j’admire lire lorsque le sujet est accrochant. J’aime des debats constructifs et enrichissants, pas d’injures ni d’animosité, soit dit en passant. La defaite du Syli de cet après-midi à Yamouskoro m’a réellement choqué au point de me poser des questions sur l’avenir certain de notre football, de notre Syli national A.

J’ai suivi ce match comme tous les supporters du Syli et de nombreux guinéens, mais jamais je n’ai vu une équipe guinéenne méconnaissable, des joueurs totalement épuisés comme s’ils revenaient d’un marathon de 10 kilomètres. Des joueurs du Syli sans coeur, ne forçant rien. Un entraîneur d’un très bas niveau, tenant son chronomètre en main sans solutions. Charles Paquilé, sorti du chapeau magique de Bouba Sampil, a déçu par son coaching nul lors des deux matchs, inefficaces et l’homme est l’ombre de lui même. Il ne mérite pas d’être entraîneur d’un club de ligue 1 européenne ou guinéennne , à plus forte raison d’une équipe nationale d’un pays comme la Guinée. Il a montré ses limites et sa capacité réelle à gérer une sélection nationale. Nous l’avons dit, écrit et répéter après avoir été battu par la RD Congo à Kinshasa de faire remplacer le portier Ibrahima Koné par Moussa Pinpin Camara de Simba SC et le défenseur axial Mohamed Aly Camara par un autre, il a catégoriquement refusé de nous écouter et voilà les conséquences terribles sous ses pieds. Le Syli a perdu la rencontre de cet après-midi par la faute de ces deux joueurs qui, à mon avis, doivent quitter le Syli national pour un bon moment. Et lorsqu’on entend un capitaine du Syli Abdoulaye Touré dire à la veille d’un match capital et crucial qu’ils ne sont pas obligés de gagner tous les matchs et qu’il faut savoir rebondir, c’est le comble de l’imbécilité, de l’hypocrisie, d’irresponsabilité et d’un maque d’amour pour la patrie. En résumé, le président de la FGF Bouba Sampil et le comité exécutif ont misé sur un mauvais cheval Paquilé et doivent se retrouver très rapidement pour tirer les leçons de cette défaite humiliante face à une équipe locale tanzanienne

Quelle honte !

Dbeck

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